ETXERAT (15-3-2022). Hier, c'était le 25e anniversaire de la mort d'Antonia Hernández. Antonia est décédée dans un accident de la route à Aranda de Duero, alors qu'elle était en route pour rendre visite à son petit-fils, Angel Figueroa, qui était en prison à l'époque. Elle avait 75 ans.
25 ans plus tard, le caractère exceptionnel de la politique pénitentiaire est toujours en vigueur. De même, ils continuent à essayer d'imposer un discours et une logique dans lesquels il n'y a pas de place pour la reconnaissance de toute souffrance, ni pour la construction du vire ensemble. Etxerat soutient que les souffrances et les morts causées par le caractère exceptionnel de la politique pénitentiaire doivent également avoir leur place dans la carte de la mémoire. Un total de 35 prisonnier.e.s politiques basques et 16 de leurs parents et/ou ami.e.s, dont Antonia Hernández, ainsi que deux autres personnes qui se sont suicidées pour éviter d'être emprisonnées, sont morts à cause de l'exceptionnalité de la politique pénitentiaire.
Reconnaissance et réparation !